A  TOUT  PROBLÈME   ...  SA  SOLUTION  !!!

 

1)      UNE  ACTIVITÉ  EN  DÉCLIN :

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Le directeur technique de Skydive-Pau Parachutisme Passion, Monsieur TOUZEAU, note une chute significative de l'activité, passant de 30 000 sauts en 1995 à 9 864 en 2021. Les années 2020 et 2021 sont marquées par le contexte de la pandémie de Covid-19, avec des restrictions sanitaires et des interdictions d'activités sportives, mais la baisse de l'activité civile est observable depuis bien avant cette période. Les données de la Fédération Nationale de Parachutisme confirment une diminution importante du nombre de licenciés et de sauts civils au niveau national. Même sur la Drop Zone de LASCLAVERIES, l'activité de

parachutisme civil est en déclin, suggérant que l'activité de parachutisme sportif

civil pourrait ne plus être suffisamment rentable pour l'association PPP.

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N’oublions pas la subvention d’État attribuée à l’association PPP

de 305 368 € en 2018/2020. L'association a reçu un soutien significatif en 2020, permettant l'acquisition d'un CESSNA 208B Grand Caravan conforme aux critères de l'Armée. Cet investissement répondait aux appels d'offres de l'Armée pour le Maintien en Condition Opérationnelle des troupes

aéroportées dépendantes des avions de l'Armée de l'Air. La question se pose

alors : l'association doit-elle être considérée comme une entité sportive

ou une entreprise (PME) ?

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Face à la diminution de l'activité civile, la question se pose de la pertinence de maintenir l'aérodrome de LASCLAVERIES, réservé exclusivement au parachutisme depuis sa création puis par son agrément en tant qu'"aérodrome à usage restreint" en 2008. Une suggestion est faite quant à la possibilité de rationaliser les équipes et les ressources en les regroupant sur un site plus adapté. La question sous-jacente est de savoir si la participation de PPP à des appels d'offres de l'Armée depuis 2015, avec l'acquisition d'avions répondant à des critères spécifiques, vise à compenser la baisse d'activité civile en cherchant des opportunités dans des marchés publics lucratifs proposés par l'Armée.   Marchés publics très lucratifs lancés par l'Armée.

Avions d'ailleurs achetés après l'obtention des 305 000 Euros provenant du Ministère de la Défense.

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Cette nouvelle activité militaire qui représente aujourd'hui entre 60 et 70 % de l'activité totale de PAU PARACHUTISME PASSION entrainent une augmentation de plus de 150 % de l'activité totale et donc des nuisances sonores que subissent les riverains.

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2)    TROP  DE  ZONES  ET  DE CLUBS   DE  PARACHUTISME  POUR  UN  NOMBRE  DE  LICENCIÉS  CIVILS  ASSEZ  LIMITÉS.

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Le maintien de nombreuses zones de sauts en France, malgré un nombre restreint de licenciés civils sportifs, rend difficile la viabilité continue de cette activité dans tous les endroits et à tout moment. De nombreux clubs et zones de sauts, tels que Mimizan, Tarbes, Agen, Cahors, restent d'ailleurs fermés une grande partie de l'année.

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3)    UN  CENTRE  D’ENTRAINEMENT  MILITAIRE  À  LASCLAVERIES.

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L’aérodrome a été déplacé d'IDRON à LASCLAVERIES en 1980 pour être

un « Centre-École de Parachutisme Sportif »  selon l'arrêté préfectoral autorisant 

cette implantation et non un centre d’entrainement militaire

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L'aérodrome de LASCLAVERIES ne convient pas au Maintien en Condition Opérationnelle des parachutistes militaires, car les avions de PPP ne permettent pas d'embarquer et de réaliser des sauts avec armement et équipement militaire. De plus, l'aérodrome n'est ni équipé ni agréé pour les sauts de nuit, essentiels à la formation et au maintien en condition des troupes aéroportées. Les avions de PAU PARACHUTISME PASSION effectuent occasionnellement des rotations et largages de nuit au-dessus de la zone de sauts de l'ETAP.

Voir l’article : Le général Schill met la pression sur l'armée de l'Air pour l'entrainement des troupes aéroportées - Zone Militaire (opex360.com)

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La zone de sauts de l'ETAP à PAU est spécifiquement adaptée aux sauts opérationnels de l'Armée, de jour comme de nuit, avec des infrastructures pour l'hébergement et la restauration des militaires nécessaires à l'accomplissement de leur quota annuel de sauts. Des sociétés privées telles qu'INTER DZ, CEA Aviation Luxembourg, et d'autres fournissent à la location des pilotes, équipages, et avions à l'Armée pour effectuer des sauts sur la Drop Zone de l'ETAP à PAU, utilisant les pistes et la tour de contrôle de l'aéroport de PAU-UZEIN. Certains autres aérodromes, comme Mimizan, Pamiers, Tarbes, sont homologués pour les vols de nuit, contrairement à LASCLAVERIES.

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 4)  CONCENTRER  LES  ACTIVITÉS  BRUYANTES SUR  DES  ZONES  DÉJÀ  BRUYANTES.

Faire du bruit là où il y a déjà du bruit et ne pas créer de nouvelles zones de nuisances. 

Les décibels ne s’additionnent pas de façon arithmétique.

Si un engin quelconque fait 80 décibels, 2 engins de même type feront 83 décibels.

Notre région dispose de plusieurs aéroports.

PAU en particulier dispose d’une tour de contrôle toute neuve construite en 2019

pour 9 millions d’€.

L’aérodrome de PAU est en concurrence avec BIARRITZ et surtout TARBES.

PAU PARACHUTISME PASSION apporterait un plus d’activités et de revenus financiers qu'apprécierait sans doute AIR'Py.  

 

Sur LASCLAVERIES, les terres agricoles pourraient être remises en culture. 

Les habitants de la région retrouveraient ainsi le calme et la sérénité.

Les activités de PAU PARACHUTISME PASSION pourraient perdurer et se développer dans de bonnes conditions sur des zones adaptées, sécurisées et équipées pour les sauts de nuits (généralement pratiqués en tout début de soirée dès la nuit tombée).